Port du Roseau

Jack arriva au Port du Roseau . L'équipage était partit dans un bar ou autre ...

Saliery et Jack marchèrent un instant puis il figea . Jack commença à voir floue puis , rien . Il ne savait pas qu'il était tombé et qu'il était inconsent parce qu'il voyait quelque chose . Comme s'il voyait son père ... Il voyait son père mais lui ne le voyait pas . Il marchait comme cela et son père lui ressemblait tellement !

Saliery fut effrayée quand Jack tomba inconsiament sur le sol, comme ça ! Elle se mit à genoux à côté de lui. Il respirait encore. Elle essayait de le réveiller. Elle lui donnait quelques tappes sur les joues et le brassait un peu. Elle commençait à vraiment avoir très peur.

Il ouvrit les yeux mais était toujours inconscient . Il fit peur à Saliery . Il reprit conscience enfin . Il ne se leva pas pour autant .

- Woh ... c'était trop bizarre .

Il avait un immense mal de crâne .

Saliery avait vraiment eut peur. Elle trouvait celà bizarre qu'il tombe ainsi et qu'il se réveille aussi rapidement. Elle voyait qu'il fallait qu'il aille se reposer. Elle l'aida à se relever.
« - Viens ... »
Elle voulait l'amener dans un hotel ou il pourrait se reposer.

Arrivé à l'hotel , Jack lui raconta se qu'il avait vu .

Saliery écouta du début à la fin. Elle fut surprise. Elle réfléchit, quelques instants, essayant de trouver une explication logique à ce qui venait de ce passer.
« - C'est très étrange, tout ça ... »

- Je ne sais pas moi , j'aurais pu voir du ruhm ! Un navire ! Des fill... je veux dire ... des gens ...

Il avait faillit dire des filles ! Aouch !

- Mais il a fallu que je vois mon père !

Saliery comprit tout de même qu'il allait dire « fille », mais elle n'en fit pas un cas. Ce n'était pas important. Il était tombé sans connaissance et avait vu son père. Ce qui était très étrange ... La jeune femme ne trouvait aucune explication logique à tout ça.

- Pourquoi il a fallu que je vois lui en particulier ? Pourquoi pas M.Gibs ! Il est sympatique lui au moins !

Il réflichis un instant .

- Attends , si mon père était jeune dans ma vision , ça veut dire que ma vision s'est déroulé dans le passé . Donc , mon père est sûrement venu ici auparavent . Sûrement pour faire quelque chose d'important ...

Saliery fronça des sourcils.
« - Attends ... Tu crois que tu as eu une vision sur ton père quand il était jeune et qu'il est venu ici pour faire quelque chose d'important ? »
Elle se retenu pour ne pas rire.
« - Voyons, Jack, tu ne trouves pas ça ilogique ? »

- C'est toi qui ne fait pas de sens . Mon père ne peut qu'avoir une cinquantaine d'années et plus aujourd'hui , s'il n'est pas mort ... Et il était loin d'avoir 65 ans ! En plus , quelqun a crié son nom , il a dit : Sparrow ! Ici ! Par ici !

Même lui trouvait cela bizarre mais pas ilogique !

À force qu'ils en dicutaient, Saliery trouvait celà de plus en plus bizarre.
« - Voyons, Jack ... Tu es surment tombé, en trébuchant ou glissant sur quelque chose et tu as fait un espèce de rêve, ou je ne sais quoi. »

- Et quand tu fait se genre de rêve toi , tu ouvres les yeux , décrit ton père , très précisément , quand tu ne la pas vu depuis des années , et en ayant les yeux ouvert , tu rêve encore ?

Saliery accôta sa tête dans la paume de sa main.
« - Non. »

- Si tu veux ! Bon , je crois que je vais descendre voir s'il n'y aurait pas du Ruhm .

En se levant , il fut pris d'un étourdissement et retomba sur le lit .

- Je crois que je vais rester un moment ...

Saliery se leva.
« - Je vais aller t'en chercher. »
Elle descendit en bas et alla voir le propriétaire pour lui demander du ruhm. Au moment où celui-ci descendit à la cave pour aller lui en chercher une bouteille, la porte s'ouvrire pour laisser entrer deux femmes. Elle tourna la tête vers la porte et ses yeux s'agrandirent. Saliery la reconnue.
Malgré ses quarante ans, elle avait gardée sa beautée de sa jeunesse. Elle était mal coiffée, ses cheveux noirs comme l'ébène étaient toujours aussi épais et magnifique, même si elle était échevelée. Autrefois, sa beautée avait fait rêvé certains hommes du village, et elle les faisait toujours autant rêvé. Ses yeux bleus pâles, perçants, étaient toujours aussi étincellants, avec un supçon de froideur mêlé avec une pointe de sympatie, un bien drôle de mélange qui intriguait les gens. Elle était toujours aussi grande, aussi mince, malgré qu'elle est eut trois grossesses, dont sa dernière étaient nés des jumeaux. Sa peau était toujours aussi blanche et aussi douce. Elle avait toujours cet air élégant, même si elle n'était que la femme du menuisier du Port. Athena Bones-Staver n'avait pas donné sa beautée et son élégance à sa fille aînée. Certains c'étaient même déjà demandé comme une aussi belle femme pouvait avoir mit au monde une fille aussi affreuse et horrible. Les langues sales avaient même adoré parler dans le dos de cette beautée au coeur de glace.
Saliery reconnue aussi la femme qui l'accompagnait ; vieille, âgée d'une soixantaine d'année, Katrina O'Connor l'avait toujours détesté.
Elle devint écarlate, et ne fut guère étonné de voir sa mère à l'hotel. Quand elle était enfant, sa mère allait souvent ici pour avoir " la paix ", comme elle le disait si souvent.
Elles allairent s'installer à une table, près de la porte, et commeçairent à discuter. Quand le propriétaire revint avec la bouteille, Saliery le paya en vitesse et courrut rejoindre Jack. Ce fut éssouflé et l'air effrayé qu'elle entra dans la chambre.

Jack ne l,entendit pas entrer , il dormait ... si on peut dire . Il hurlait d'après Saliery , quand celle ci le réveilla ...

Saliery vit que Jack dormait ... Et hurlait. Elle le réveilla, paniquée. Tout allait dont bien mal, aujourd'hui ! Elle réussi finalement à le réveiller.
« - Jack ! Ça va ? Tu hurlais ! »

- En de quoi ? J'hurlais ? Ça se peut ...

Il se prit la tête avec les mains . Il vit la bouteille que Saliery tenait .

- Du Ruhm !

Il sauta quasiment dessus !

Saliery fut surprise qu'il saute quasiment sur la bouteille. Elle trouvait qu'il n'avait pas l'air bien, mais il buvait son ruhm sans se plaindre d'un mal quelqu'on que. Elle le laissa donc boire sans se poser de question.
« - Jack. Elle est là ! Je l'ai vu. » chuchota-t-elle.

- Qui ?

Il avait une voix tellement faible .

- Woh ... qu'est ce qui m'arrive ? J'aurais du rester dans les Limbes moi ...

Saliery, entendant sa voix aussi faible, lui arracha la bouteille de ruhm et le força à se coucher. Elle déposa la bouteille sur une petite table, juste au dessous d'une fenêtre. Elle regardait à l'exterrieur, comme rêveuse, quand elle reconnu la voix maternelle qui montait les escaliers. Et pas seule. Elle s'approcha de la porte, qu'elle entrouvit légèrement et elle vit, avec sa mère, un homme, qu'elle reconnue ; Thomas Williams. Elle n'était donc plus avec Katrina ? Ils ne virent pas la jeune femme qui les espionait et qui les avait vu entrer dans la chambre en face de la leur. Saliery était dégoûtée. Loin d'être une imbécile, elle avait deviner ce que sa mère faisait avec Thomas. Elle ferma la porte.
« - La cochone ! L'espèce de ... Elle n'a même pas honte ! » se dit-elle, pour elle-même
Jack, qui se demandait ce qu'elle avait, mais qui voulait surtout récupéré sa bouteille de ruhm, allait se relever, mais Saliery s'en approcha rapidement et le força, brusquement à ce recoucher.
« - Couche-toi ! dit-elle, sèchement. Il faut que tu te reposes ! »
Saliery était devenue écarlate. Elle était loin d'avoir l'air de bonne humeur, elle avait l'air à la fois en furie, triste et blessée. L'on pouvait voir des larmes de frustration qui coulaient sur ses joues rougient par la rage. Elle avait compris que sa mère ne venait pas ici seulement pour avoir la " paix ".

- D'accord , d'accord ! Avoir su que je te fesait pleurer !

Saliery essuya les larmes qui coulaient sur ses joues.
« - Ce n'est pas toi, c'est elle. »
Elle ouvrit de nouveau la porte, qu'elle laissa grande ouverte pour aller regarder sous la porte d'en face, espionnant sa mère. Elle entendait des rires et des murmures. Elle était enragée. Saliery se leva, ne voulant en entendre d'avantage. Elle ferma la porte, enfin, la claqua, plutôt. Elle s'approcha de Jack.
« - L'espèce de ... De ... AAAAH ! Elle n'a vraiment aucune morale ! »
Elle s'asseoya sur une chaise, raidement, complète rouge.

- Moi aussi je dis souvent cela quand quelqun essaye de me tuer , mais sans succès !