Mah, j'ai rien fait !

Zéphyr était arrivée à Port Royal depuis quelques temps. À peine fut elle arrivé qu'elle commença à roder autour, ce qui fit alerter l'armée du Port qui l'arrêta, sans explication n'y même sans retenu. Elle avait beau se débattre pour qu'ils la lâchent, rien n'y fait ... Ils l'amenairent aux cachots ou ils l'enfermairent. Elle était seule dans sa cellule, totalement seule dans ses cachots humides. Elle c'était accôtée contre le mur, ses cheveux blonds sales tout échevelé, les yeux avec un air sombre, fixant droit devant elle, l'air d'une bête sauvage prête à bondir.

Le Commodore arriva avec un garde et lui demanda de lui ouvri et de la conduire a une sale d'intérogation.

(Garde)-Aller vien la toi.

Zéphyr ne se leva pas. Elle le fixa d'un air méprisant et hautain. Le garde du la prendre de force par le bras pour la faire sortir, mais quand il la tira pour la faire lever, elle fit comme si elle était faible et retomba mollement sur le sol des cachots, se plancher froid et dur. Elle semblait s'amuser à se faire lever par le garde et à retomber. Il semblait perdre patience.

Le Commodore apella deux autres gardes pour la maitriser et ordonas a l'un deux de la pointé avec son arme.

-La vous aller nous suivre sans rouspeter.

Zéphyr regarda l'armée avec un mince sourire. Gagné. Elle lui avait fait perdre patience. Elle savait qu'il n'oserait jamais lui faire du mal, car le Commodor savait qu'elle avait, surment, des conversations interressantes. Après tout, c'était une pirate. Elle se retenue de rire. Cette blondasse est vraiment ... Surprenante ... Et incompréhensible. Soudain, incapable de se retenir, elle éclata de rire, sous les regards surprise des trois gardes qui devaient la soutenir pour l'empêcher de se laisser tomber de nouveau.

Le Commodore en avait plus qu'asser des cette plaisanterie il fit signe au garde qui l'assoma et elle tomba assomé. Les gardes purent ainsi la transporté jusqua la sale et la mire sur une chaise puis l'asperga d'eau tres froide.

Zéphyr tomba donc incociente. Elle se réveilla, complètement trempée, avec un mal de tête et une bosse derrière la tête. Elle regarda les trois gardes sortir, se frotant derrière la tête, fixant le Commodor en fasse d'elle avait un air de mépris.
« - Vous pourriez être plus délicat ! Franchement ! Frapper une femme ! Vous n'avez pas homme ? »

-C'était nécéssaire croyé moi. Bon je croit que vous devez vous demender pk on vous a arreter sans rien vous dire nes ce pas.

Zéphyr aquiesça, se retenant pour se lever d'un bond.
« - Exactement ! »
Elle soupira, croisant les bras et les jambes, enlevant d'une main sèchement une mèche de ses cheveux qui traînassait devant ses yeux. Elle prit un air à la fois hautain et insulté.
« - Je venais juste d'arriver. Non, mais, je n'avais rien fait ! »

-HÉ bien voila vous avez été identifier comme étant un membre de l'équipage de JAck Sparrow et tous les pirates quelqu'ils soient on la meme sentence.

Zéphyr haussa des épaules. Elle fit comme si elle ne comprenait rien.
« - Partit de l'équipage de qui ? Moi ? Pirate ? Non, mais, vous me prenez pour qui ? »

Le Commodore garda son calme.

-Ne fait pas comme si vous ne savier pas de quoi je parlait, l'un de mes gardes vous a reconnus. Il vous avait vus lors de notre derniere poursuite et si vous ne me croyé pas retirer votre manche droite.

Zéphyr soupira et se rasseoya tranquillement sur sa chaise.
« - Hein, je ne suis pas un pirate et je ne fais pas partir de l'équipage de ... De ce gars-là. Bon, ne venez pas me contredire ! »
Elle eut un sourire quand il lui demanda de lever sa manche droite. Ha, ha ! Elle savait ce qu'il voulait voir ; le « P » qui signifiait pirate. Mais il allait être déçu, car se signe, Zéphyr ne l'avait pas laissé se faire placé là. Elle l'avait fait placé dans le milieu de son dos, pour être sur que personne ne le verrait.

Le Commodore eu un petit doute sur ses dires.

-Pour l'heure vous etes toujours prisonniere jusqu'a se que le contraire de se que je pense ainsi que mes hommes sorte au grand jours.

Il appella les gardes qui la reconduisi dans sa cellule mais elle résista et son chandail se releva un peu et un des gardes vit une cicatrice.

(Garde)-Commodore, venez voir.

Le Commodore s'approcha.

-Quoi, qui a t'il?

(Garde)-La j'ai cru voir une cicatrice.

Zéphyr resta tout de même calme. Elle allait trouver un moyen pour s'en sortir.
« - Ouais ... Une vieille cicatrice. Ma mère me frappait souvent dans le dos. »

Le Commodore ne voulu prendre aucune chance.

-Relevez lui un peu son chandail.

Ce que le garde fit et découvrit le P de pirate.

-Braquer vos armes sur elle, Gilettes aporté les fer. Je savait que je ne devait pas vous faire confiance, vous allez nous dire ou il est ou vous serez pendu.

Merde ... Zéphyr venait de se faire prendre ... Gilette lui mit les fers autour des poignets, mais la blondasse était sur de son coup. Elle leva la tête vers le Commodor, avec un mince sourire malin.
« - Si vous me pendez, vous ne saurez jamais où est caché Sparrow. »

Il ;lui fit un sourir moqueur.

-C'est la seul raison pourquoi vous etes encore en vie, emener la.

Zéphyr se fit donc amener, mais elle éclata de rire pendant qu'on la ramenait à sa cellule. Elle avait une idée derrière la tête.

Ils étaient 4 gardes qui l'entourait, pas questions de la laisser fillé. Elle était sa seule informatrice pour trouve Jack Sparrow.

-Faite attention de la perder pas de vus, monsieur Meurtogne pointé la avec votre arme.

(Meurtogne)-Oui monsieur.

Ils la conduisir jusqu'a sa cellule ou ils l'enferma.

Zéphyr fut donc ramené à sa cellule et fut surveillé jour et nuit, mais elle ne cracha pas le morceau. En fait ... On dirait que ça l'amusait. Elle c'était accôté contre le mur du fond et chantonnait.

Le Comodore arriva devant sa cellule et demanda aux deux gardes de les laisser quelque minutes.

-Allez-vous nous dire votre cachette ou vous continuez a joué la comedi?

Zéphyr le regarda avec un sourire, mais elle ne dit rien. Elle continua de chantonner, l'air joyeuse.

-je croit alors que si vous persistez ainsi je n'est plus de raison de vous gardez en vie.

Il rappela les deux garde pour venir faire la surveiller.

-Vous serez donc pendu demain a l'aube.

Zéphyr haussa alors des épaules.
« - Ah bon ... Moi qui attendait un « S'il vous plaît » pour vous le dire et des excuses pour votre brutalité ... Eh bien, laissez donc faire. J'amènerais mon secret dans ma tombe, alors. Les morts voudront surment^le savoir et vont surment être plus sympathique. »