Dernier jours ...

Jack et Saliery remontèrent a bord , suivi de M.Gibs .

- Je te l'avait dit que mon père était sympatique !

Saliery haussa d'un sorucils.
« - Oui, très sympathique ... »
Elle hocha de la tête et enleva quelqeus cheveux de devant ses yeux.

- Bon ben ... M. Gibs ! Vous savez ou aller !

Jack entra dans son bureau , encore .

Saliery le regarda entrer dans son bureau. Maintenant, elle hésitait vraiment à y aller. Elle y réfléchit plusieurs fois avant de se décider à le laisser seule. Il devait sûrement commencer à être écoeuré de la voir venir le déranger. Elle alla plutôt aider M. Gibs à commender l'équipage pour qu'il puisse se rendre le plus rapidement possible sur l'île comme il était indiqué sur la carte.

Le lendemain , Jack commença vraiment à stresser. Il savait qu'il ne lui restait que 24 heure a vivre .

Il sortit dehors et vit l'équipage . Ceux ci le regardait tous . Il se demandait pourquoi ...

L'équipage était au courrant pour le collier. Ce fut pourquoi ils le regardairent tous avec de grands yeux. Saliery et Gibs stressaient eux-mêmes, et de voir l'équipage sarrêter d'un coup les stressa un peu plus. Ils les faisaient perdre leur temps !
« - CONTINUEZ À TRAVAILLER ! ON N'A PAS DE TEMPS À PERDRE ! » hurla Gibs.
Ils se remirent alors tous au travail. Saliery alla rejoindre son Capitaine.
« - On est bientôt arrivé. »

- Oui ... euhm ... tu sais quoi ? Je viens de réaliser la gravité de la situation !

Saliery haussa des sourcils.
« - Tu viens juste de réaliser ? »

- Oui !

Il se mit à rire , réalisant se qui venait de dire .

Saliery le regarda avec de grands yeux.
« - Et tu trouves ça drôle ? »

- J'essaye de rire Saliery ! Tu ne comprend pas ? Je vais peut être passer mais dernier jours ici avec toi et je ne veux pas les passer à pleurer et me stresser !

Saliery réfléchit et baissa les yeux.
« - Oui, tu as tout à fait raison ... »

- Je sais . J'ai toujours raison ! dit il en l'entourant avec son bras .

Saliery sourit et rit un peu. Jack la calmait. Mais son bras la mettait mal à l'aise.

- Je sais à quoi tu penses . Il ne faut pas être mal à l'aise ... pas maintenant ...

Saliery hocha simplement de la tête. Elle ne savait pas vraiment quoi dire, n'y même ce quil voulait dire par son « pas maintenant ».

Il la regarda

- Est ce que tu m'aime ? T'es tu bien avec moi ? Si oui , c'est l'essentiel . Et , ne crois tu pas qu'il sont au courant ? Il n'ont pas l'air intelligent mais , je vais peut être t'apprendre quelque chose , il le sont !

Il lui adressa un sourire .

Saliery le regarda avec un sourire.
« - Bien sûr que je t'aime. »
Elle observa l'équipage. Certains les fixaient avec de grands yeux. Jack avait bien raison, ils avaient l'air idiots, mais ils ne l'étaient pas.

Un membre de l'équipage siffla

Jack s'en approcha en riant

- C'est drole non ? En tout le monde ?

Il regarda celui qui avait siffler .

- Moi au moin j'en ai une toi il faudrait que tu te trouve une fille et déjà là , c'est peine perdu !

M.Gibs et les autres encouragèrent leur Capitaine et rièrent avec lui .

Saliery regarda l'homme qui avait sifflé avec un regard noir, mais finalement elle éclata de rire quand Jack le replaça à sa place.

Le soir , Jack s'enferma dans son bureau s'en rien dire . Il était environ 10 heures du soir . Il lui restait 2 heures avant ...

Saliery l'avait caché toute la journée, mais puls l'heure avançait, plus elle avait peur. Le soir, complètement inquiète, elle avait été dans le bureau de Jack. Il était environ 10.00 heures. Il ne restait que deux heures avant qu'il ne soit minuit.
« - Jack, il reste deux heures avant qu'on arrive sur l'île. » dit-elle.

- Je sais .

-(G) Jack , on est arrivé . Mais ...
- Mais quoi ?
- D'après la carte , ça va nous prendre une heure pour se rendre au coffre .

- D'accord , j'arrive .

Saliery sortit rapidement, suivit de Jack et ils se dépêchairent à monter dans le bateau, Jack, elle et Gibs. Ils arrivairent rapidement sur l'île, Saliery aidant Gibs à pagayer.

Mais , quand Jack arriva sur l'île , il eu comme un malaise ... le collier avait troué la poche de son manteau , tellement il était devenu brûlant .